Mieux comprendre pour mieux vivre avec l’ostéoporose
À l’occasion de la Journée mondiale de l’ostéoporose, j’avais envie de vous parler de cette maladie souvent silencieuse mais bien réelle, et de vous proposer un autre regard : celui du soutien corporel, émotionnel et énergétique que je peux vous offrir, notamment par l’hypnose et la sonothérapie.
Qu’est-ce que l’ostéoporose ?
L’ostéoporose, c’est une maladie des os. Mais pas n’importe laquelle : c’est celle qu’on appelle « silencieuse », car elle progresse sans douleur apparente… jusqu’à ce qu’un choc ou une chute provoque une fracture.
Concrètement, nos os deviennent plus fragiles, poreux, un peu comme une éponge. Cela arrive lorsque le corps perd trop de masse osseuse ou n’en produit plus suffisamment. Résultat : les os perdent en densité, en solidité, et deviennent plus vulnérables.
Cette fragilité est souvent liée :
à l’âge (notamment après la ménopause chez les femmes),
à des antécédents familiaux,
à certaines carences (en calcium, vitamine D),
ou à des traitements médicaux lourds.
On estime qu’une femme sur trois et un homme sur cinq de plus de 50 ans souffriront d’une fracture due à l’ostéoporose. Et pourtant, on en parle peu, on la connaît mal. Mon intention ici est de vous donner des clés, sans peur ni culpabilité.
Quels sont les impacts sur la vie quotidienne et le travail ? (QVTC)
Vivre avec l’ostéoporose, ce n’est pas seulement une affaire médicale. Cela touche la qualité de vie au quotidien (QVTC) : dans le corps, mais aussi dans l’esprit, dans les gestes, dans la posture mentale.
Dans la vie de tous les jours :
La peur de tomber devient constante : on évite certains mouvements, certaines sorties, parfois même certains loisirs.
La douleur peut s’installer, surtout après une fracture (vertèbres, poignets, hanches).
Le sentiment de vulnérabilité s’intensifie : “mon corps me trahit”, “je ne peux plus faire confiance à mes os”.
Il y a aussi parfois un repli, une perte de confiance, voire de l’anxiété liée au vieillissement ou à la perte d’autonomie.
Et dans le travail ?
Certains postes deviennent plus difficiles : station debout prolongée, port de charges, trajets.
Le stress chronique peut aggraver la sensation de fragilité corporelle.
La fatigue émotionnelle liée à la douleur ou aux limitations peut impacter la concentration, la patience, la motivation.
En résumé, l’ostéoporose ne se voit pas, mais elle se vit dans la chair, et elle laisse parfois un vide de compréhension autour de la personne qui en souffre.
En quoi je peux vous soulager grâce à l’hypnose et la sonothérapie ?
C’est là que mon accompagnement prend tout son sens. L’ostéoporose est une maladie physique, oui. Mais elle touche aussi notre relation au corps, à la confiance, à la mobilité, à la vitalité.
Avec l’hypnose :
Je vous accompagne pour travailler sur la douleur, sur les peurs de chute ou de rechute, sur la reconnexion au corpscomme un allié, et non comme une menace.
L’hypnose permet aussi de renforcer la confiance en ses capacités, d’activer les ressources internes de sécurité, et de pacifier le lien avec un corps parfois jugé trop fragile.
Cela se fait toujours dans la douceur, dans l’écoute de ce qui est là, jamais dans le forçage ou la projection.
Avec la sonothérapie :
Les vibrations sonores (bols tibétains, diapasons thérapeutiques, etc.) résonnent dans le corps en profondeur. Elles accompagnent :
la détente musculaire et émotionnelle,
la circulation de l’énergie dans les zones bloquées,
un apaisement global du système nerveux.
Beaucoup de personnes ressentent un soulagement réel, une légèreté retrouvée, parfois même une meilleure qualité de sommeil après quelques séances.
L’ostéoporose n’est pas une fatalité. Il est possible de retrouver de la fluidité, du confort, et même de la joie dans le mouvement, en apprenant à écouter son corps autrement.
Je suis là pour vous accompagner avec humanité, bienveillance, et simplicité, dans une approche qui respecte votre rythme et vos besoins.
N’hésitez pas à me contacter si vous ressentez le besoin d’être soutenu.e, entendu.e, guidé.e.
Je serai ravie de vous accueillir.
À très bientôt,
Elisabeth Bernardo